La journée de la femme soumise

Catégories : FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 3 ans
Je me souviens avoir dit oui pour la réalisation de ce fantasme, de ce rêve récurent où je suis victime d’une tournante.

Ce rêve insensé où je me réveille trempée, à la fois affolée, furieuse, heureuse. Je suis au sport, j’étais la dernière à la douche. Lorsque je sors des vestiaires, un homme cagoulé m’attrape par derrière en plaquant sa main sur ma bouche. Son autre bras me ceinture, me soulève. Il est si fort que je ne peux rien faire, me débattre ne sert à rien. Est-ce le moment de mes folies ou un vrai v i o l avec un fou qui va peut-être me tuer.

La main sur ma bouche glisse sur mes yeux, elle est soudainement remplacée par un bâillon fait de tissu. Puis tout devient noir ou presque, on vient de me mettre un sac de jute sur la tête. Mes deux jambes sont saisies, écartées pendant qu’on me porte je ne sais où. Si on m’a aveuglée c’est pour ne pas être vu, reconnu, cela ne peut donc pas être ma folie sexuelle, ce pour quoi j’ai dit oui, un soir de beuverie avec des amis du monde du BDSM.

On me couche sur ce que je crois être des tapis de sol. Une corde est enroulée à chacun de mes poignets, mes bras sont étirés pendant qu’on retire ma culotte. Ils sont si forts que mes ruades sont inutiles. C’est au tour de mes chevilles d’être attachées. Mes jambes sont écartées liées à je ne sais quoi. Je suis clouée au sol bras et jambes en X avec comme vêtement juste ma robe d’été. Je n’avais pas remis mon soutien, pour parcourir le petit kilomètre et rentrer chez moi, je l’avais jugé inutile.

On me touche entre les jambes, pendant que d’autres tirent sur ma robe puis malaxent mes seins. Combien sont-ils ? Je n’en sais rien. Pourvu qu’ils ne me fassent pas de mal, mon dieu que j’ai peur. Un homme dont je ne reconnais pas la voix me traite de salope, d’allumeuse, me dit qu’ils vont m’apprendre à faire ma bourge, m’apprendre la vraie vie. La seule chose qui me rassure, me donne un peu d’espoir, c’est qu’ils m’ont mis ce sac puant sur le visage pour que je ne les vois pas. Pendant qu’un homme mouille mon sexe avec de la salive, les autres pétrissent mes seins comme si c’était des miches de pain, quand ils ne me pincent pas les tétons pour les étirer. Cela doit être sensé m’exciter ? J’en doute, ils s’amusent simplement avec le corps d’une femme devenu un jouet.

L’un d’eux se couche sur moi, fouille mon sexe à peine mouillé de sa salive. Pour me pénétrer il doit forcer et me fait mal. Mes cris étouffés il s’en moque, seul son plaisir compte. Pourvu qu’il ait mis un préservatif. En plus de toute cette horreur, j’ai aussi peur du sida. Le mec est un rapide, il semble vouloir faire un marathon, comment peut-il prendre du plaisir en allant aussi vite ? Dans un sens tant mieux, ce sera plus vite fini, au moins avec lui. Il ne tarde pas à râler comme un porc avant de s’immobiliser profondément figé en moi. Après deux coups de rein, il se retire, un autre le remplace. Combien sont-ils ? Que feront-ils de moi après leur forfait ?

Lui est un calme, il prend son temps, je n’ai pas eu mal quand il m’a prise. Ce rustre ne me baise pas pour se vider les couilles, on dirait qu’il veut me faire l’amour. Pourquoi va t’il si doucement ? Pour bien me faire sentir qu’il me possède ? Pour accentuer mon humiliation ? Cet enfoiré est doué, mon corps commence à réagir, j’ai trop honte. Il commence à accélérer, juste un peu, le salop veut m’avoir, me faire jouir, je le sens. Je ne veux pas jouir, pas comme ça.

Une fois de plus, je redeviens dépendante de mes sens, esclave totale de mon ardente nature, captive de mes fantasmes. Mon corps répond à la caresse de cette verge, en se contractant spasmodiquement sur le membre dur. C’est comme avec mon Maître quand il m’attache pour faire de moi son jouet sexuel. Sauf que là, ce sont des inconnus. Je me dis de lâcher prise, quitte à mourir, jouir avant de partir, de quitter ce monde. Plus facile à dire qu’à faire, la peur est castratrice de plaisir.

Le troisième ne tarde pas à venir se servir de la proie humaine. Lui aussi semble vouloir me faire jouir. On joue avec mes tétons pendant qu’il me baise en douceur, non ce n’est pas possible je ne vais pas pouvoir résister. Ma tête devient toute chaude, mon corps s’embrase doucement irrémédiablement. Malgré la honte et au mépris de toute logique, je sens que je vais jouir. La boule de feu monte en moi, monte, monte, mon corps se met à trembler, se contracte puis soudain implose. C’est géant, c’est bon, c’est honteux, horrible.

  • Oui, vas-y chéri lâche-toi !

Oh putain, c’est mon Maître, mon homme, mon amour, il a finalement organisé la réalisation de mon fantasme. J’ouvre les yeux, je vois 4h30 sur le réveil. Mon premier réflexe est de plonger ma main entre mes cuisses. Je suis trempée, poisseuse.

Le Maître de mes rêves n’est pas là, je suis seule dans le lit et en sécurité chez moi. Ce n’était qu’un de mes rêves récurrents. Comment puis-je avoir ce genre d’envie alors que je suis de nature timide ? Peut-être que je lis trop d’histoires érotiques et regarde trop de vidéos sur Fessestivites. Dans la rubrique Réel Fessestivites on voit bien que cela arrive en vrai, que des gens s’amusent avec ça, je ne dois pas être la seule folle à fantasmer sur ces sujets et sur les gang bang BDSM.

Fin

TSM

Note de l’auteur :

Dans certaines vidéos de Fessestivites, ce sont des membres du réseau et non pas des acteurs rémunérés. Oui, ce genre de plan est parfois organisé. C’est grisant ! Grisant à organiser, grisant à vivre puisque les filles reviennent.

Les filles que j’ai soi-disant « « « dressées » » » ou pire « « « enlevée » » » et « « « vendues » » » étaient évidement consentantes. Sans quoi, je serai en prison ! ! !

Il est à noter que pendant les plans les hommes traitent parfois les soumises de salope (et autres mots élogieux) , ET ------> juste après le plan, ils les vouvoyaient. Le respect reprend toujours ses droits après les délires et le plaisir.

Une fois nous avons organisé une chasse à la femme en Camargue. J’avais un fusil. Sans balle ni culasse, il était aussi dangereux qu’un bout de bois. La pauvre fille a beaucoup joui et, en guise de merci, m’a roulé une belle en partant !

Soyez prudent dans vos jeux et en terme d’hygiène vous devez :

  • Utiliser des préservatifs
  • Curer vos ongles, laver et désinfecter vos mains avant d’aller farfouiller là où...
  • S’il y a plusieurs « « esclaves » » pensez qu’un sextoy ne doit JAMAIS passer d’une fille à l’autre. Ce serait comme faire l’amour sans préservatif.
Pourquoi ce titre ? La journée de la femme soumise

Hier c’était la journée internationale de la femme.

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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